Chapitre 19
Que personne ne s’approprie les choses des autres.
Nous ordonnons, que pas un Frère, ne s’attribue les choses, qui sont à l’usage des autres, sans leur permission, et la licence des Supérieurs, et qui fera autrement, qu’il s’en accuse à son Supérieur au Réfectoire, qui l’en ayant fort repris, l’en punisse d’un jeûne de Pain, et d’Eau, crainte qu’il ne retourne à ce même vice, et ceux à qui l’on accorde l’usage d’une chose, qu’ils y mettent quelque marque, qui la distingue des autres.