Article quatorzième

Nous savons enfin que diverses lettres sont émanées de quelques Pontifes Romains, nos prédécesseurs, relativement à la déclaration de la Règle et à des points qui s’y rattachent. Ces lettres, nous le savons aussi, n’ont pu arrêter les attaques des calomniateurs dont il a été question, ni pourvoir, en beaucoup de cas, à l’état des Frères.

Plusieurs circonstances qui se sont présentées par la suite ont démontré, à ce sujet, la nécessité de mesures nouvelles ou différentes. Nous voulons donc éviter que la diversité de ces lettres et de notre présente constitution, ou leurs interprétations opposées, ne troublent les esprits des Frères dans l’observation de toutes ces choses. Nous tenons également à pourvoir plus pleinement, plus clairement et avec plus de certitude, à leur état et à l’exécution de leur Règle.

À ces fins, nous décidons que pour tous les articlés en général contenus dans cette constitution, et chacun en particulier, bien qu’ils soient contenus également, tout ou partie, dans les autres lettres Apostoliques par nous mentionnées; néanmoins, notre présente constitution ou ordonnance devra seule être observée par les Frères, d’une manière précise, inviolable, et à perpétuité.