Chapitre 4
Je commande fermement à tous les Frères, de ne recevoir en aucune manière deniers ou pécune, par eux-mêmes, ou par personne interposée. Cependant, pour les nécessités des malades et pour vêtir les autres Frères, que les Ministres seulement et les Custodes, à l’aide d’amis spirituels, en aient grand soin selon les lieux, les temps et les froides régions, ainsi qu’ils jugeront nécessaire : ceci toujours excepté, comme il a été dit, qu’ils ne reçoivent ni deniers ni pécune.